the Pastaphores clad,
Original French: les Paſtophores reueſtuz,
Modern French: les Pastophores revestuz,
Notes
prétes d’Isis vetus de lin
ergo hic praecipuum summumque meretur honorem
qui grege linigero circumdatus et grege calvo
plangentis populi currit derisor Anubis.
Consequently, the highest, most exceptional honour is awarded to Anubis, who runs along, mocking the wailing populace, surrounded by his creatures in linen garments and with shaved heads.
[Anubis, the dog-headed god and guardian of Isis. Here a priest dressed as Anubis mocks the people for their lamentation over the “death” of Osiris, the consort of Isis.]
Certains Pastaphores
Vous leurs favorisez (dist Iuppiter) à ce que ie voy bel messer Priapus. Ainsi n’estes à tous favorable. Car veu que tant ilz couvoient perpetuer leur nom & memoire, ce seroit bien leur meilleur estre ainsi après leur vie en pierres dures & marbrines convertiz, que retourner en terre & pourriture. Icy darrière vers ceste mer Tyrrhene & lieux circumvoisins de l’Appennin voyez vo’ quelles tragedies sont excitées par certains Pastophores.
Tiers Livre Chapter 48
Comment Gargantua remonstre n’estre licite es enfans soy marier, sans le sceu et adveu de leurs peres & meres. Chapitre XLVIII
[…]
Filz trescher (dist Gargantua) je vous en croy, & loue Dieu de ce que a vostre notice ne viennent que choses bonnes & louables, & que par les fenestres de vos sens rien n’est on domicile de vostre esprit entré fors liberal sçavoir. Car de mon temps a esté par le continent trouvé pays on quel ne sçay quelz pastophores Taulpetiers autant abhorrens de nopces, comme les pontifes de Cybele en Phrygie, si chappons feussent, & non galls pleins de salacité & lascivie: les quelz ont dict loix es gens mariez sus le faict de mariage.
Tiers Livre Chapter 48
How Gargantua sheweth that it is not lawful for Children to marry without the Knowledge and Consent of their Fathers and Mothers. Chapter XLVIII.
[…]
“My very dear Son,” quoth Gargantua, “I believe you in this, and praise God in that only such things come into your Thoughts as are good and praiseworthy, and that by the Windows of your Senses nothing has entered into the Dwelling-place of your Mind save liberal Knowledge. For in my time on the Continent hath been found a Country, in which are certain pastophorian Molecatchers, as far removed from Marriage as the Priests of Cybele in Phrygia, if only they had been Capons and not Cocks full of Wantonness and Lasciviousness, who have dictated Laws to married Folk in the matter of Marriage.
Pastophores
Translated by Urquhart as “the pastophorian priests.” Ozell notes, “Only Pastophores in French. The were the pontiffs among the Egyptians, in the temple of Serapis. [greek] “pallidum sacerdotale, a cope. Pallium Veneris quod ferebant in Egypto sacerdotes cæteris honoratiores.” The place of their abode was close to the temple, and called the Pastophorium. Ruff. Eccles Hist l. ii. c. xxiii. ‘Item Hieron. in Esa. pastopho.ium, inquit, est thalamus, in que habitat præpositus templi.’”
Pastophores
Les Egyptiens firent de grands efforts poir remédier aux inconvéniens de leir façon d’écrire: leur ordre sacerdotal était partagé, sans doute dès long-temps, en deux castes dont l’une obéissait à l’autre; ils le subdivisèrent encore. La première caste forma les quatre classes, des propètes, des hiérostolites, des hiérogrammates et des horoscopairesl la seconde fut divisée en pastaphores et en néocores chacune d’elles se livra spécialement à un genre de travaux.
Pastophores
Terme d’archæologie. Prêtes qui portaient le lit de Vénus dans certaines cérémonies. Ils pratiquaient la médecine en Egypte. — Autres prêtes chargés de lever le voile qui, à la porte des tempoles égyptiens, cachait la divinité. (Du grec pastas lit ou pastos voile, et phêrd je porte.
pastophores
Ch. 48, n. 4. Chez les Egyptiens, les pastaphores (παστόψοροζ, Diodore de Sicile, I, 29) étaient des prêtes chargés de porter les statues des dieux dans les chapelles du temple. Avant R., Budé avait employé ce mot au sens général de prêtes. Cf Sainéan, t. I, p. 8 et t. II, p. 53.
pastaphores
pour les pastaphores, voir XLVIII, p. 497 et n. 2.
Isiacques and Pastaphores
Les prêtes d’Isis étaient vêtus de lin; Juvénal, Satires, VI, 532, les appelle «grex liniger»; voir aussi Ovide, Métamorphoses, I, 767. Les pastophores portaient dans les châsses les images des dieux : ils représent les prêtes, revêtus de l’aube.
pastophor
pastophor, pastophorus. [adopted from French pastophore, adaptation of Latin pastophorus, adopted from Greek pastoforoj, formed on pastoj a shrine, +roj carrying. More usually in Latin form.]
One of the order of priests who carried shrines of the gods in procession, as frequently represented in Egyptian art.
1658 Phillips, Pastophories, (Greek) the most honourable order of Priests among the Egyptians.
1706 Phillips (ed. Kersey), Pastophori, certain Priests, whose Business it was, at solemn Festivals, to carry the Shrine of the Deity.
1891 translation De La Saussaye’s History of Scotch Relig. l. 437 Singers, pastophores, hierodules and others.