Among the far-flung places that are brought together by the use of Pantagruelion to weave the sails of ships.
“Phebol shall see Theleme…”
Notes
Madagascar
Cantino Planisphere-Mascareignes. Unknown Portuguese cartographer, 1502. This extract shows Madagascar and the Mascarene Islands.
Madagasgar
From Cabo da Boa Esperança to Equinoctial from east to west [Africa south of Equator] [originally No. 10], showing Madagascar as São Lourenço. The continental area, comprising just a fifth of the map, includes the coasts from the Zambezi delta to the coast of Somalia, up to the Equator (which serves as the northern edge of the map), with the island of Madagascar figuring prominently.
Dourado was a Portuguese cartographer of the sixteenth century. His 1571 atlas comprises 20 manuscript sheets on parchment (Wikipedia).
Taprobane and Phebol in pseudo-Aristotle
No smaller than these [the British Isles] are Taprobane [Ceylon] beyond the Indians, which lies obliquely to the inhabited world, and the island known as Phebol, by the Arabian Gulf.
Regarding Du Mundo
It is almost universally agreed that this treatise is not a genuine work of Aristotle. The style and various details of doctrine all make it unthinkable that it was written either by Aristotle himself or during his lifetime; but no such certainty is possible about the identity of the author or the date of composition.
Phebol
Pays aussi chimerique que Theleme.
Phebol
Pays aussi chimérique que Théleme, selon de Marsy. Mais Phebol est une île du golfe Arabique, selon Aristote, De mundo, et selon le Dict. poet. d’Étienne, qui cite cet auteur ancien à ce mot. Nous avons dit que Thélème étoit le Saint-Maur-des-fossés.
[I have been unable to identify “le Dict. poet. d’Étienne.”]
Phebol
Aristotle, in his Treatise on the World, dedicated to Alexander the Great, adverting to the situations of the larger islands known at that time, observes that ‘Taprobane (Ceylon) and the island called Phebol, which is situated towards the Arabic gulf, are not inferior in magnitude to the Britannic islands.’ There are no islands in those seas of sufficient magnitude to answer the above description, excepting Socotra and Madagascar; the former of which seems to have been well known to Aristotle, for it is said that, at his request, Alexander brought a colony from Greece to this island, in order to secure the trade carried on with aloes. On the other hand Madagascar is not near the Arabic Gulf, and it seems, therefore, uncertain, whether Socotra or Madagascar be the island mentioned by the great philosopher under the name of Phebol, though the latter is much more probable.
Phebol
Phebol est l’ancien nom d’une ile du golfe arabique.
Magagascar
Malte-Brun a aussi « cru reconnaître dans l’île Phébol, nommée dans un écrit attribué à Aristote, le nom arabe de Phanbalou donnée a Madagascar » (Précis de la géogr. univ., tome V, 1817, p. 116. — Cette phrase a été retranchée dans la nouvelle édition.) Cette dernière assertion sera examinée dans le Mémoire que nous consacrerons aux connaissances géographiques des Arabes sur les îles de la côte orientale d’Afrique.
Nous nous bornerons ici a expose le seul passage ancien où il soit question de Phébol. [quotes De Mundo]
C’est là tout ce que nous savons de Phébol; et cette vague notion nous parait insuffisante pour en conclure que le pseudo-Aristote a voulu parler de Madagascar. Il nous semble même que ces mots « vers le golfe Arabique » nous éloignent trop de Madagascar pour qu’une telle hypothèse soit soutenable.
Phebol
Si l’on veut bien ouvrir le Ier volume des Essais de Montaigne, au chapitre XXX, intitulé « des Cannibales », on trouvera le passage ci-dessus annoncé que nous allons reproduire textuellement. …
L’aultre tesmoingnage de l’antiquité auquel on veult rapporter cette descouverte, est dans Aristote, au moins si ce petit livret des Merveilles inouyes est à luy. Il raconte là que certains Carthaginois, s’estants iectez au travers de la mer Atlantique, hors le destroict de Gibaltar, et navigé long temps, avoyent descouvet-t enfin une grande isle fertile, toute revestue de bois, et arrousee de grandes et profondes rivieres, fort esloingnee de toutes terres fermes; et qu’eulx, et aultres depuis, attirez par la bonté et fertilité du terroir, s’y en allèrent avecques leurs femmes et enfants, et commencèrent à s’y habituer. Les seigneurs de Carthage, veoyants que leur païs se depeuploit peu à peu, feirent deffense expresse, sur peine de mort, que nul n’eust plus à aller là, et en chasserent ces nouveaux habitants, craignants, à ce qu’on dict, que par succession de temps ils ne veinssent à multiplier tellement, qu’ils les supplantassent eulx mesmes et ruinassent leur estât. Cette narration d’Aristote n’a non plus d’accord avecques nos terres neufves.
Ce passage de Montaigne nous a causé la plus agréable surprise. Immédiatement l’idée est venue que cette grande île fertile, découverte par les Carthaginois, était Madagascar, celle qu’Aristote avait appelée Phébol, sachant vraisemblement que la permière (l’île découvert) et la seconde (Phébol) étaient une seiule et même île…
Aristote, dans son ouvrage intitulé « du Monde » mentionne deux îles plus grandes que les îles Britanniques. Il appelle l’une Taprobane et la place près de l’Inde. Il monne l’autre Prébol et la place dans la mer d’Arabie. Il n’est pas douteux que la permière ne soit l’île de Ceylan; la seconde, Madagascar.
Phebol
Arist. de Mundo c. 3.
Phebol
D’après Aristote, De Mundo, 3, c’est le nom d’une île du golfe d’Arabie.
Phebol
Note re. Phebol in psuedo-Aristotle: Very mysterious. It might well be Socotra, as Bochert suggests (Arist. Erdkunde, p. 93); Wilhelm Capelle ( “Die Schrift von der Welt,” Neue Jahrb. f. d. klass. Alt. xv (1905), p. 539) suggests Madagascar; Müllenhoff (Deutsche Altertumskunde, pp. 322 f.), quoted with approval by Lorimer (Some Notes on the Text of Ps.-Aristotle “De Mundo” (St. Andrews University Publications, xxi, 1925), p. 37, n. 1), suggests it is the island in Lake Tana (Psebo in Strabo) in Abyssinia, magnified and transplanted.
Socotra
Socotra, also called Soqotra, located between the Guardafui Channel and the Arabian Sea, is the largest of four islands in the Socotra archipelago. The territory is located near major shipping routes and is officially part of Yemen.
Socotra appears as Dioskouridou (“of the Dioscuri”) in the Periplus of the Erythraean Sea, a 1st-century AD Greek navigation aid.
Phebol
Île du golfe d’Arabie, connue seulement d’après Ps.-Aristote.
Madagascar
The name Madageiscar was first recorded in the memoirs of 13th-century Venetian explorer Marco Polo as a corrupted transliteration of the name Mogadishu, the Somali port with which Polo had confused the island.
On St. Laurence’s Day in 1500, Portuguese explorer Diogo Dias landed on the island and named it São Lourenço (Saint Lawrence). Polo’s name was preferred and popularized on Renaissance maps. No single Malagasy-language name predating Madagasikara appears to have been used by the local population to refer to the island, although some communities had their own name for part or all of the land they inhabited.